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학술저널

앙드레 말로의 『정복자』에서 살펴본 삽화들의 평행관계

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Dans Les Conquérants, comme dans les autres romans d'André Malraux, nous pouvons constater sans difficulté que certains épisodes reviennent à plusieurs reprises ou s'interrompent brusquement pour être repris plus loin, laissant entre eux des lacunes. Ainsi, l'intrigue du roman semble, au premier abord, désordonnée, d'où l'impression désorientée de son lecteur. Pourtant, cette complexité et cette discontinuité nous feraient également le plaisir de comprendre les allusions et de suppléer aux lacunes du texte. Dans cette perspective, nous essaierons d'étudier des épisodes concernant les souvenirs de Garine, héros du roman. Bien qu'il existe peu de concordance apparente entre les épisodes éloignés l'un de l'autre, le retour cyclique et la variation d'un motif de la ‘parodie’ nous révèlent leur correspondance interne et le parallélisme de ces épisodes. Dans le premier épisode, le jeune Garine, après une expérience de procès qui lui a fait la sensation d'une parodie, à savoir celle de l'absurdité de l'ordre social, il se laisse convaincre que l'emploi le plus efficace de la force sera 'une raison qui ne soit pas une parodie'. L'aspiration de Garine à la puissance l'amène à Canton, théâtre de la révolution chinoise contre l'impérialisme anglais. Il y dispose d'une force dont il rêvait tant et néglige sa maladie tropicale. Alors que son entourage lui conseille de quitter Canton, il n'arrive pas à se décider. C'est dans ces circonstances qu'il raconte son souvenir de la 'procession extraordinaire' autour de laquelle une foule fanatique imitait l'autodafé de la révolution. À travers ce deuxième épisode, Garine semble comprendre que, cette fois, on ne peut jeter dans le feu ni la révolution, ni la maladie et que tout effort pour lutter contre l'absurdité serait une parodie. Dans son troisième souvenir, Garine décrit l'image d'un viol collectif déguisé en cérémonie solennel de mariage. Ici, il démontre l'évolution de sa connaissance sur l'absurde humain en citant la phrase de son père : “Il ne faut jamais lâcher la terre.” En ce disant, il confirme qu'en fin de compte, c'est la certitude et la hantise de l'absurde qui doivent nous permettre une ‘vraie vie’. Ainsi, les présents travaux nous amènent à conclure que la structure des Conquérants se montre désordonée mais cohérente.

1. 들어가는 말

2. 삽화들의 평행관계와 내적 조응

3. 모티프의 반복과 변주

4. 나가는 말

참고문헌

《Résumé》

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