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KCI등재 학술저널

밀레의 「소 먹이는 여인」에 대한 연구

Étude sur la Femme faisant paître sa vache de Millet

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La Femme faisant paître sa vache est l’un des premiers tableaux de Jean-François Millet à entrer dans un musée national, actuellement au musée de Brou, à Bourg-en-Bresse en France. C’est sur la commande officielle que Millet a achevé le tableau en 1858. Il a décoré le cabinet du Secrétaire général du ministère d’État. Millet l’a emprunté pour présenter au Salon de 1859; la Femme faisant paître sa vache est acceptée alors qu’un autre tableau de Millet, La Mort et le bûcheron, est refusé. La première préoccupation du peintre pour la Femme faisant paître sa vache était d’éviter que le sujet apparaisse démagogique. Après l’acceptation au Salon, il se montre soucieux de son placement. Car le tableau qui est aux tons très sombres exige en effet beaucoup de lumière. Dans cette toile, l’animal occupe la place centrale, plus important que la femme. Cet accent sur la vache gêne les critiques. Ils regrettent l’aspect quasi religieux. Pour la présence importante de l’animal, Maxime Du Camp trouve l’explication dans le titre, sa vache; c’est une existence vitale pour la femme et sa famille. La paysanne de Millet intrigue certains critiques qui font une conclusion intéressante: elle est aveugle. Alexandre Tardieu appelle même le tableau L’Aveugle à la vache. Cette idée intéressante est assez convaincante, d’autant plus que l’intensité du regard chez le personnage est absente dans ce tableau. Si l’on l’observe basé sur cette hypothèse, la différence est considérable. Le tableau prend une autre ampleur. On remarque ainsi un bâton sous le manteau de la paysanne; on peut imaginer que ce bâton sert à guider non seulement la vache mais aussi la femme comme une canne d’aveugle. Pourtant, l’idée que la Femme faisant paître sa vache est aveugle ne se révélera pas au-delà du Salon de 1859.

1. 들어가는 글

2. 밀레의 의도

3. 종교적 관점

4. ‘소 먹이는 맹인’으로 보는 시각

5. 나오는 글

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