들뢰즈의 분열증 개념으로 본 베이컨의 회화

La peinture de Bacon dans le concept de schizophrénie de Deleuze

Cet article voit que le concept de schizophrénie dans l’horizon esthétique de Gilles Deleuze agit comme un facteur clé pour expliquer la subjectivité d’un artiste, et que le mécanisme de la pensée schizophrène incarne la créativité de l’art. L’objectif est d’examiner les peintures de Francis Bacon comme une interprétation concrète de cela. Tout d’abord, cet article considère la pensée schizophrénique de Deleuze comme une structure dérivée d’une sorte d’incompétence de pensée causée par le choc, la peur, la violence et le désordre, et analyse qu’elle est liée à la violence des sens dans la peinture de Bacon. Selon Deleuze, un artiste est un praticien créatif qui crée son propre langage grâce à une pensée extrême. Cette thèse souligne les limites qui n’ont été appliquées et étudiées que du point de vue pathologique de l’art contemporain, en raison du préjugé lexical qu’implique la schizophrénie. De plus, je discute de la justification de la valeur esthétique du diagnostic de l’art contemporain à travers la schizophrénie dans une perspective ontologique. Au cours de cette discussion, les peintures de Bacon peuvent expliquer le statut ontologique des peintures en ce qu’elles exposent la réalité de l’artiste et abordent les problèmes d’existence à travers des descriptions non représentatives.